L’écrivaine Ken Bugul est la marraine de la 31e édition de la Journée internationale de l’écrivain africain ouverte ce mardi. Une occasion pour le monde de la culture de rendre hommage à l’auteur de «Le Baobab fou». «Une icône qui nous vaut tant de satisfaction et que la République a le devoir de célébrer et d’honorer dans les formes qui s’imposent», souligne le ministre de la Culture, Aliou Sow, dans des propos repris par Le Soleil.

Ce dernier, enthousiaste, d’ajouter : «Cet ange aux doigts de vernis ou encore cette fée aux phalanges digitales et au chant polyphonique sans fin a su adresser les grandes questions qui hantent la nuit des philosophes. L’actualité brûlante des migrations n’échappe pas à son bistouri, à l’instar du médecin soucieux de restituer sa santé au patient.»

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