L’affaire remonte à 40 ans. Un militaire français est porté disparu alors qu’il pêchait dans les eaux du Cap Manuel, là où ont été localisés pour la dernière fois l’adjudant-chef de la gendarmerie Didier Badji et le sergent Fulbert Sambou.

La victime française était un assistant technique. Son épouse tenait un institut de manucure. Son corps n’a jamais été retrouvé.

C’est le général en retraite Mamadou Mansour Seck, ancien Chef d’état-major général des armées (CEMGA), qui révèle cette histoire dans les colonnes de L’Observateur de ce jeudi. «Le Français était au Sud de la Presqu’Île, derrière l’ancien tribunal», précise l’ancien patron de l’Armée.

Le général Seck, qui le juge «très dangereux», estime que ce site «devrait être interdit ou alors surveillée en permanence». «Il y a des rochers et des vagues dans cet endroit. Il est probable qu’un corps reste coincé dans les rochers», avance-t-il.

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