“Les effets économiques de la guerre en Ukraine vont aggraver le ralentissement économique actuel dans le monde et affaiblir la reprise après la pandémie de la Covid-19“. Une affirmation de Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la Cnuced.
Dans un rapport rendu public, la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement estime que cette guerre risque de briser l’élan de la reprise mondiale en plus de causer un choc en Afrique. Et qu’elle devrait amputer la croissance mondiale d’environ 1 point de pourcentage.
Reconfiguration complexe des chaînes d’approvisionnement mondiales…
D’après toujours la même source, en raison de la guerre en Ukraine et des changements de politiques macroéconomiques opérés par les pays au cours des derniers mois, les perspectives de l’économie mondiale s’aggravent rapidement sous l’effet de la hausse des prix des denrées alimentaires, des carburants et des engrais, de la volatilité financière accrue, de la reconfiguration complexe des chaînes d’approvisionnement mondiales et de l’augmentation des coûts commerciaux.
Dans un rapport rendu public, la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement estime que cette guerre risque de briser l’élan de la reprise mondiale en plus de causer un choc en Afrique. Et qu’elle devrait amputer la croissance mondiale d’environ 1 point de pourcentage.
Reconfiguration complexe des chaînes d’approvisionnement mondiales…
D’après toujours la même source, en raison de la guerre en Ukraine et des changements de politiques macroéconomiques opérés par les pays au cours des derniers mois, les perspectives de l’économie mondiale s’aggravent rapidement sous l’effet de la hausse des prix des denrées alimentaires, des carburants et des engrais, de la volatilité financière accrue, de la reconfiguration complexe des chaînes d’approvisionnement mondiales et de l’augmentation des coûts commerciaux.
Flambée des prix et service de la dette pour les pays importateurs de denrées alimentaires.
“Un scénario préoccupant d’autant que la guerre conduit déjà une hausse des prix de l’énergie et des produits de base. “La pression supplémentaire exercée par les hausses de prix intensifie les appels à une réponse politique dans les économies avancées. Ce qui menace un ralentissement plus marqué que prévu de la croissance“, indique le rapport exploité par Libération Online.
“La flambée des prix des denrées alimentaires et des carburants aura un effet immédiat sur les plus vulnérables dans les pays en développement, entraînant la faim et des difficultés pour les ménages qui consacrent la plus grande part de leurs revenus à l’alimentation. La hausse des prix menace les moyens de subsistance, décourage les investissements et fait planer le spectre d’un creusement des déficits commerciaux“, indique le rapport.
1.400 milliards de dollars à la fin de 2020…
Elle s’inquiète ainsi du sort de 104 pays dont plus d’une trentaine très vulnérables, qui sont des importateurs nets de produits alimentaires. Ils avaient une dette publique extérieure totale de 1.400 milliards de dollars à la fin de 2020. “Ces pays doivent faire face à 153 milliards de dollars de paiements prévus au titre du service de la dette en 2022, qui peuvent être mis en péril si les prix alimentaires internationaux continuent d’augmenter“, a annoncé lors d’une conférence de presse à Genève, Richard Kozul-Wright, directeur de Division de la mondialisation et des stratégies de développement à la Cnuced.