Cela fait deux mois que Nabou Leye croupit en prison en compagnie de six autres individus accusés dans le meurtre de Aziz Dabala et de Boubacar Gano alias « Waly ». La danseuse a, d’après Les Échos, et par le biais de ses avocats, déposé une demande de liberté provisoire même si elle n’a pas encore été entendu sur le fond du dossier.
Le journal rapporte que, selon la danseuse et artiste comédienne, « il n’y a ni élément factuel qui l’incrimine, ni élément de preuve. » Ce qui fait dire à la défense, dans sa requête déposée ce lundi, « que celle-ci a été citée à tort dans cette affaire. » Mieux encore, disent-ils, « aucun des mis en cause, inculpés dans ce dossier, ne l’a citée comme ayant participé d’une manière ou d’une autre à ces crimes ».
« Elle parle d’erreurs des enquêteurs sur la géolocalisation du téléphone ». « Ils ont confondu 12 heures et 00 heure », rapporte le journal.