Le président Macky Sall est un digne produit de l’école libérale. Cet ancien élève de Me Abdoulaye Wade était parti pour surclasser son maître. En dix ans, il a réussi à imprimer sa marque au Sénégal. Tout comme le Pape du Sopi, l’actuel locataire du Palais a réussi à faire émerger de nombreuses infrastructures. Et en bon commandant en chef, Macky garde le contrôle sur tout. Malgré tous ses efforts, le chef de l’Etat peine à prendre le contrôle de deux choses.
Le contrôle total sur tout, c’est ce que le président Macky Sall aurait bien voulu. Hélas, le destin en a voulu autrement. Après dix ans de règne, le locataire du Palais vit les années les plus mouvementées de son second mandat. Et si Macky Sall est dans cette position, c’est parce que tous les efforts qu’il fait sont torpillés par des personnes cachées derrière leur clavier. Dans le monde virtuel, le patron de Benno n’est pas le bienvenu.
Dans un de ses précédents articles, la rédaction de Xibaaru démontrait comment le chef de l’Etat peinait à réguler les réseaux sociaux. Depuis lors, la situation s’est empirée et le constat est effrayant. Quand on fait un tour sur le net, on pourrait être amené à dire que le Sénégal, dans son ensemble, est contre le président Sall. Tellement les attaques dont il est victime sont virulentes. Les internautes pour la plupart ont une aversion de leur président et le présentent comme le diable du pays…
Et certaines personnes ont réussi à « exclure » le côté positif de la gouvernance de Macky Sall sur les réseaux sociaux. Au moment où ses soutiens ont complètement fui la toile, le chef de l’Etat doit faire face à un danger qui échappe complètement à son contrôle. Et ce danger n’est rien d’autre que la personne de Ousmane Sonko. Le leader du parti des Patriotes pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) représente la nouvelle menace qui plane sur le « Macky ».
En effet, le président avait réussi une chose extraordinaire : « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». Il a mis à l’écart ses plus grands opposants à l’instar de Karim Wade, l’exilé du Qatar, Khalifa Sall, perdu par la caisse d’avance. Macky Sall s’est entouré d’une armée de transhumants commandée par Idrissa Seck. A l’Assemblée nationale, le chef de l’Etat et sa coalition règnent en maître. Et tout cela, Macky l’a réussi en dix ans de règne. Mais aucun plan n’est infaillible.
Le député accusé de viol a réussi à chambouler tous les plans de Macky Sall. Après la trahison de Idrissa Seck, il est devenu le leader de l’opposition. Casquette qu’il porte à merveille. Il est, ensuite, devenu un élément incontournable dans la coalition Yewwi Askan Wi. Au sein de l’opposition, rares sont les leaders qui ne se sont pas alignés dernière Sonko. Des grands noms de l’opposition sont devenus des « serviteurs » du présumé bourreau d’Adji Sarr. Et cela fait peur jusqu’au Palais. Malheureusement pour le pouvoir il lui sera impossible de freiner Sonko.
Le leader de Pastef a réussi là où Macky Sall peine à émerger. A savoir se faire accepter par les jeunes. Et le Président Ousmane Sonko (PROS) a tout misé sur les jeunes, devenus son fer de lance. D’ailleurs, ils ont démontré à maintes reprises qu’ils étaient prêts à tout pour leur « PROS ». Alors le locataire du Palais a un véritable adversaire qui ne rêve que de lui arracher son fauteuil…même par la force.
Le génie politique du Chef de l’Etat lui a permis de faire des miracles au Sénégal. Mais Macky Sall qui a mis à terre Khalifa Sall, exilé Karim Wade et envoyé à la retraite les dinosaures politiques, ne pouvait pas se douter qu’un petit inspecteur des impôts et domaines allait devenir son plus grand problème. Cette perte de contrôle sur les réseaux et le cas Ousmane Sonko font partie des signes de fin de règne d’un lion qui dort.
Le président Macky Sall est un digne produit de l’école libérale. Cet ancien élève de Me Abdoulaye Wade était parti pour surclasser son maître. En dix ans, il a réussi à imprimer sa marque au Sénégal. Tout comme le Pape du Sopi, l’actuel locataire du Palais a réussi à faire émerger de nombreuses infrastructures. Et en bon commandant en chef, Macky garde le contrôle sur tout. Malgré tous ses efforts, le chef de l’Etat peine à prendre le contrôle de deux choses.
Le contrôle total sur tout, c’est ce que le président Macky Sall aurait bien voulu. Hélas, le destin en a voulu autrement. Après dix ans de règne, le locataire du Palais vit les années les plus mouvementées de son second mandat. Et si Macky Sall est dans cette position, c’est parce que tous les efforts qu’il fait sont torpillés par des personnes cachées derrière leur clavier. Dans le monde virtuel, le patron de Benno n’est pas le bienvenu.
Dans un de ses précédents articles, la rédaction de Xibaaru démontrait comment le chef de l’Etat peinait à réguler les réseaux sociaux. Depuis lors, la situation s’est empirée et le constat est effrayant. Quand on fait un tour sur le net, on pourrait être amené à dire que le Sénégal, dans son ensemble, est contre le président Sall. Tellement les attaques dont il est victime sont virulentes. Les internautes pour la plupart ont une aversion de leur président et le présentent comme le diable du pays…
Et certaines personnes ont réussi à « exclure » le côté positif de la gouvernance de Macky Sall sur les réseaux sociaux. Au moment où ses soutiens ont complètement fui la toile, le chef de l’Etat doit faire face à un danger qui échappe complètement à son contrôle. Et ce danger n’est rien d’autre que la personne de Ousmane Sonko. Le leader du parti des Patriotes pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) représente la nouvelle menace qui plane sur le « Macky ».
En effet, le président avait réussi une chose extraordinaire : « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». Il a mis à l’écart ses plus grands opposants à l’instar de Karim Wade, l’exilé du Qatar, Khalifa Sall, perdu par la caisse d’avance. Macky Sall s’est entouré d’une armée de transhumants commandée par Idrissa Seck. A l’Assemblée nationale, le chef de l’Etat et sa coalition règnent en maître. Et tout cela, Macky l’a réussi en dix ans de règne. Mais aucun plan n’est infaillible.
Le député accusé de viol a réussi à chambouler tous les plans de Macky Sall. Après la trahison de Idrissa Seck, il est devenu le leader de l’opposition. Casquette qu’il porte à merveille. Il est, ensuite, devenu un élément incontournable dans la coalition Yewwi Askan Wi. Au sein de l’opposition, rares sont les leaders qui ne se sont pas alignés dernière Sonko. Des grands noms de l’opposition sont devenus des « serviteurs » du présumé bourreau d’Adji Sarr. Et cela fait peur jusqu’au Palais. Malheureusement pour le pouvoir il lui sera impossible de freiner Sonko.
Le leader de Pastef a réussi là où Macky Sall peine à émerger. A savoir se faire accepter par les jeunes. Et le Président Ousmane Sonko (PROS) a tout misé sur les jeunes, devenus son fer de lance. D’ailleurs, ils ont démontré à maintes reprises qu’ils étaient prêts à tout pour leur « PROS ». Alors le locataire du Palais a un véritable adversaire qui ne rêve que de lui arracher son fauteuil…même par la force.
Le génie politique du Chef de l’Etat lui a permis de faire des miracles au Sénégal. Mais Macky Sall qui a mis à terre Khalifa Sall, exilé Karim Wade et envoyé à la retraite les dinosaures politiques, ne pouvait pas se douter qu’un petit inspecteur des impôts et domaines allait devenir son plus grand problème. Cette perte de contrôle sur les réseaux et le cas Ousmane Sonko font partie des signes de fin de règne d’un lion qui dort.